Mardi 12 Février 2019, projection du premier film israélien

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La colline 24 ne répond plus (en hébreu : Giv’a 24 Eina Ona), est un film israélien réalisé par Thorold Dickinson et sorti en 1955, sera projeté mardi 12 février à 15h au au 14 rue de Paradis , Paris 10ème.

Une grande première pour notre « Toile du 14 » du Mardi 12 Février 2019 à 15h00 précises au 14 rue de Paradis , Paris 10ème : nous vous proposerons une séance exceptionnelle à plus d’un titre avec la projection du film israélien « La Colline 24 ne répond plus »; titre original en hébreu : Giv’a 24 Eina Ona.

La colline 24 ne répond plus (en hébreu : Giv’a 24 Eina Ona), est un film israélien réalisé par Thorold Dickinson et sorti en 1955. C’est une séance Exceptionnelle pour plusieurs raisons :

  • C’est le premier long métrage produit en Israël, et le film a été présenté au Festival de Cannes 1955.
  • Ce film n’est jamais passé sur les chaines de TV françaises
  • Pour la première fois dans le cadre des « Toiles de 14 » nous utiliserons une technique spéciale pour la projection, mais nous ne vous en dirons pas plus.

Résumé : La veille d’un cessez-le-feu imposé par les Nations-Unies, quatre volontaires qui combattent pour Israël, veulent prendre possession de la colline 24, une de celles qui dominent Jérusalem. Chemin faisant, chacun raconte ce qui l’a amené à défendre la la cause israélienne: l’Anglais James, qui s’est épris d’une jeune juive; Allan, touriste américain, blessé pendant des combats et qui a été secouru par un rabbin; Esther, l’infirmière qui a soigné Allan; David, qui a capturé un ancien nazi…

L’actrice israélienne Haya Harareet qui joue le rôle de Miriam Miszrahi dans le film, a reçu un hommage lors du festival de Cannes 1955, où ce film était nommé dans 3 catégories (Palme d’or, Scénario et Prix spécial du Jury). Mais elle sera surtout connu du grand public 4 ans plus tard, en 1959  en ayant le premier rôle féminin aux côtés de Charlton Heston dans « Ben Hur » de William Wyler, où elle joue Esther.

Ci-après, une interview de Haya Harareet par François Chalais, lors du Festival de Cannes de 1960.