Quand le BDS Roger Waters se fait dézinguer par Gonzo Music

Abonnez-vous à la newsletter

J’ai trouvé par hasard le plus magnifique portrait de ce taré intégral devant l’éternel, j’ai nommé Roger Waters. Allez régalez-vous comme je me suis régalée!!

On parle d’un mec dont l’égo hypertrophié lui a fait claquer la porte de son propre groupe, un mec qui a cessé de se produire sur scène des années durant après avoir mollardé un fan qui a eu le tort de l’approcher d’un peu trop près, un mec si obsédé par sa détestation d’Israël, souvent cache-sexe d’un antisémitisme aussi inavouable qu’inavoué, que dès qu’un musicien annonce qu’il va s’en va jouer à Tel Aviv, il se retrouve sous le feu nourri des nervis du BDS galvanisés par les menaces de Roger Waters ( Voir article ci dessous ), un Waters que les morts en Irak, en Libye, en Birmanie, au Yémen, en Afrique subsaharienne et partout ailleurs laissent aussi indifférent que lorsque le zouave du pont de l’Alma se mouille les pieds.

L’intensité de sa haine est hélas inversement proportionnelle à la qualité de ses enregistrements. Ses albums aussi pompeux qu’ennuyeux ne remportent pas les suffrages attendus et l’homme ne vit guère que par son fonds de commerce de « The Wall » et des royalties qu’il doit continuer à percevoir sur le catalogue Pink Floyd, lorsque Gilmour publie l’un après l’autre de somptueux opus ( voir sur Gonzomusic https://gonzomusic.fr/?s=Gilmour  ).

Et c’est ce même mec qui déclare aujourd’hui dans un message vidéo posté sur ses médias sociaux, que le groupe devrait « simplement changer le nom du groupe en Spinal Tap, et alors tout sera parfait », avant d’ajouter : « D’accord, je ne vais pas devenir tout bizarre et sarcastique, bien que comme vous le savez, c’est une direction dans laquelle je suis connu pour avoir parfois un caractère de  cochon ». Tu parles d’un cochon ? C’est le même mec qui avait trainé Gilmour et le Floyd devant les tribunaux, car ils osaient utiliser durant les concerts le cochon volant dont il se revendique l’unique « inventeur ». L’ami Gilmour a alors rajouté une paire de couilles au cochon et la diva rock procédurière a été déboutée. Échec et mat !

Pourtant dans sa vidéo, tout commençait bien puisqu’il remerciait les fans de leur réaction à une nouvelle version de « Mother » de Pink Floyd, qu’il avait récemment enregistrée et postée pendant le confinement. C’est par la suite que tout se gâte et qu’il s’évertue à lancer son offensive contre Gilmour, lui reprochant que ladite vidéo ne soit pas disponible sur le site web de Pink Floyd ». Waters fait les questions et les réponses, poursuivant : « La réponse à cette question est qu’il n’y a rien de moi n’est sur le site. Je suis banni par David Gilmour. Il y a environ un an, j’ai organisé une sorte de Camp David pour les membres survivants de Pink Floyd dans un hôtel de l’aéroport de Londres, où j’ai proposé toutes sortes de mesures pour sortir de cette terrible impasse dans laquelle nous nous trouvons. Cela n’a pas porté ses fruits, je suis désolé de le déplorer ».

Dans une interview à Rolling Stone, il avait déjà affirmé qu’une reformation serait « putain d’horrible » en raison de l’échec de la rencontre entre le groupe. Le sympatoche Waters a aussi récemment pris le temps de dézinguer le candidat démocrate aux élections US, Joe Biden, qu’il taxe de « putain de minable » assurant « qu’il était peu probable qu’il batte Donald Trump ». Renouvelant sa critique de Gilmour, Roger la chouineuse a également déclaré « David pense que tout lui appartient. Je pense qu’il pense que parce que j’ai quitté le groupe en 1985, qu’il possède Pink Floyd, qu’il est Pink Floyd, que je ne suis pas pertinent et que je devrais juste me taire. Nous sommes tous libres de donner notre avis. ». Il a conclu sa diatribe en disant : « Restez en sécurité, vous tous. Nous vivons des temps très durs et désespérés et nous devons trouver des moyens de communiquer les uns avec les autres afin d’agir en coopération pour empêcher l’homme de détruire cette fragile planète que nous habitons tous » . Et qui saura nous protéger de Roger Waters?

Roger Waters toujours aussi obsédé par sa haine d’Israël

Dès qu’il peut se manifester, Roger Waters n’en manque pas une. En pointe du mouvement pro-palestinien BDS (Boycott, Désinvestissement, Sanctions), l’ex-Pink Floyd a cette fois, comme à l’accoutumée dès qu’un artiste doit se produire dans l’État hébreu, sommé les Chemical Brothers d’annuler sine die leur concert prévu à Tel-Aviv dans dix jours. Sûr et certain que la situation en Irak, en Syrie, au Yemen, aux Philipines et dans moult pays d’Afrique déchirés par les guerres ne mérite pas qu’on s’en préoccupe, Seul un confetti de seulement 8 millions d’habitants vaut la peine qu’on se mobilise tous contre lui. Putain !

J’avais déjà un peu de mal avec Roger Waters. Artistiquement, s’entend ! Là, cela ne s’arrange pas, bien au contraire. Ce type qui n’a rien créé de tangible depuis l’album de Pink Floyd « The Wall » en 79, qui se contente de recycler inlassablement ses aventures de rock star schizophrène n’a qu’une seule et unique phobie : sa détestation d’Israël et son soutien au BDS pro-palestinien. Sans jamais se prononcer pour une solution à deux Etats, il n’a de cesse de promouvoir le boycott auprès de ses « collègues » rock stars. Lesquels, jusqu’à présent, ont souvent fait la sourde oreille, comme les Stones qui se sont produits à TA, malgré les demandes pressantes du bassiste.

Cette fois, ce sont les Chemical Brothers, qui devraient annuler leur venue en Israël : « Votre maison de disques Virgin/EMI a beau vous affirmer que jouer à Tel-Aviv le 12 novembre prochain était cool. Mais les vibes hipsters de TA ne sont qu’une bulle dans un état profondément sécuritaire qui a forcé à l’exil la moitié de la population indigène palestinienne en 1948 et qui n’a aucunement l’intention, de laisser revenir leurs descendants. »

On marche vraiment sur la tête!

Résumé : les descendants d’envahisseurs venus de la péninsule arabique et auto-proclamés « palestiniens », eux-mêmes « envahis » par des Hébreux qui avaient été chassés de leur terre quelques siècles auparavant et qui donc ne font qu’appliquer leur « droit au retour » réclament de revenir à la situation ante, c’est-à-dire d’effacer la décision de l’ONU qui a permis la création d’Israël, effacer la déclaration Balfour pour revenir à la situation de l’Empire ottoman.

Dans le même temps, et pour les mêmes raisons, l’UNESCO dénie son caractère « juif » à Jérusalem. On marche vraiment sur la tête. Ainsi, ce taré de Waters ose taxer d’apartheid l’État d’Israël et évoque une « occupation » sans se soucier le moins du monde du contexte historique ni de la situation planétaire toute pourrie dans toute la région. Ce mec ferait vraiment mieux de se payer un psy et de faire soigner l’aveuglement de son antisémitisme primaire. Et inopérant, puisque Tom Rowland et Ed Simons lui ont sèchement répliqué : « Nous ne sommes pas sensibles aux pressions extérieures. Nous nous réservons le droit et la liberté d’aller n’importe où des jeunes gens ont envie de nous voir jouer. Nous ne nous sentons pas concernés par tout le reste. », ont déclaré les deux « frères chimiques ». Waters, c’est tant va la cruche à l’eau, qu’elle finit par se casser 😉

Sources gonzomusic et gonzomusic