Yosef Naim, un garçon de 6 ans habitant Netivot, a été retrouvé sans pouls dans son lit par ses parents et transporté à l’hôpital où il a été déclaré mort.
Le personnel médical du centre médical Barzilai, où l’enfant a été emmené, a déclaré qu’il avait contracté un coronavirus il y a un mois et demi et s’était rétabli depuis. Selon les parents de Naim, il a commencé à se sentir mal dimanche et ils ont décidé de rester à la maison avec lui au lieu d’aller à un événement familial.
Lundi, les parents de Naim l’ont trouvé sans pouls dans son lit et ont appelé une ambulance. Il a été emmené au centre médical de Barzilai et malgré tous les efforts des médecins pour le réanimer, l’enfant est décédé.
Le directeur de l’hôpital et ancien directeur général du ministère de la Santé, le professeur Hezi Levi, a déclaré que la cause du décès de Naim était inconnue et que les médecins examinaient si sa mort était due au variant Omicron ou au syndrome multisystémique inflammatoire pédiatrique (PIMS) – un problème ciblant principalement les enfants, et survenant quelques semaines après que l’enfant a eu le virus, provoquant un gonflement dans tout le corps et pouvant être mortel.
Trois des sœurs du garçon ont également été amenées à l’hôpital lundi souffrant d’essoufflement et de vomissements. Une autre sœur est hospitalisée depuis plusieurs jours. Quatre des frères et sœurs de Naim, ainsi que leur père, avaient contracté un coronavirus et s’en étaient remis.
« C’était un enfant heureux et actif qui ne souffrait d’aucune maladie et avait même un Green Pass après s’être remis du coronavirus », a déclaré le grand-père de Naïm. « C’était un garçon fort, sautant d’un endroit à l’autre, un enfant normal, plein d’énergie et de joie de vivre. Il était le seul fils de la famille. Ce désastre nous est tombé dessus de nulle part. »
Line Tubiana avec ynet
J’ai dû faire une fausse manoeuvre. Je viens d’écrire un commentaire, mais, au lieu de s’afficher, ou qu’il me soit signifié qu’il ne peut pas être enregistré, il a tout bonnement disparu.
Je le réécris donc. Cet enfant a été vacciné à l’école il y a quelques jours contre la grippe, fait décisif qui a été omis de votre article. Il y a en ce moment une campagne de vaccination contre la grippe dans les écoles primaires en Israël.
Pour ma part, j’ai expressément demandé à l’infirmière de ne plus injecter désormais de vaccins à ma fille. Le système est en train de perdre notre confiance. Il se pourrait que le gouvernement, pris à son propre piège depuis qu’il n’arrive plus à écouler ses vaccins expérimentaux (vu qu’un million de citoyens confiants qui avaient accepté les deux premières injections ne se sont pas précipités sur la troisième, ayant compris qu’on les avait utilisés comme cobayes), ait introduit de ce produit controversé dans l’organisme des enfants.