Alors qu’il était invité d’une conférence ce mardi, l’intellectuel a été malmené par une association « antiraciste » de Sciences Po : le groupuscule « SciencesPo en lutte – Institut Clément Méric ».
Alain Finkielkraut était attendu à Sciences Po par un groupuscule croyant posséder la vérité, et le droit de censure. Invité mardi d’une conférence sur le thème « Modernité, héritage et progrès » par l’association souverainiste de Sciences Po « Critique de la raison européenne« , le philosophe et académicien s’est fait rudoyer par une association « antiraciste » mais bien violente.
A un moment donné, pardon, mais il faut cesser d’appeler antifa des groupuscules qui censurent et sous couvert de tolérance pratiquent le pire sectarisme. A croire que ce label leur donne licence d’incarner exactement ce qu’ils pensent combattre: la peste. https://t.co/ozZrThHEW0
— Johann Margulies (@JohannMargulies) 23 avril 2019
La conférence a dans un premier temps été annulée par ses organisateurs, puis délocalisée dans une école de commerce à proximité, avant d’être finalement reprogrammée là où elle devait avoir lieu initialement, c’est-à-dire à Sciences Po, mais sous protection policière.
Et bienheureusement la scène a été filmée, et vous pouvez constater par vous-même le niveau de ce groupuscule de merde : leur seul souci, est que surtout la scène ne soit pas filmée!!
« Ferme ta gueule ! », « Va te pendre ! », « Fasciste ! »
Quand les petits censeurs ridicules de Sciences Po insultent Alain Finkielkraut, qui les affronte courageusement…
Source LDC News : https://t.co/y3nJ74KEKz pic.twitter.com/5XSZqrNHC3
— Critique de la Raison Européenne (@CRE_SciencesPo) 24 avril 2019
Comme d’habitude l’antiracisme est le sacro-saint prétexte invoqué, et il est bon que ces manifestations soient filmées et diffusées, puisque leurs organisateurs semblent vouloir rester anonymes. Ce ne sont que des fascistes déguisés : la censure a toujours été la marque de fabrique des fascismes bruns ou rouges, et ça continue, car c’est leur seul moyen d’exister, leur mode de « raisonnement » ne peut tolérer le contradiction.
Après Eschyle à La Sorbonne, Alain Finkielfraut est « interdit » d’expression par un groupe « antiraciste » à Sc Po. Il serait temps de s’inquiéter et de réagir car cet « antiracisme » là est surtout un bon gros fascisme. https://t.co/fFDEdUYXYL
— Lily dufret (@LilithLiberty) 23 avril 2019
Line Tubiana