La « médaille de reconnaissance aux victimes du terrorisme » a été décernée à 40 nouvelles personnes, dont 16 à titre posthume, a annoncé dimanche la Chancellerie de la Légion d’honneur.
Publication au JO d’un décret attribuant la médaille nationale de reconnaissance aux victimes du #terrorisme à plusieurs victimes des attentats de Médine (2007), Toulouse (2012), Paris (Janvier et Novembre 2015) et Nice (2016) dont 16 à titre posthume pic.twitter.com/HX97ynW4SW
— Jean-Charles Brisard (@JcBrisard) 6 janvier 2019
Publiée au Journal officiel, la deuxième « promotion collective » de cette médaille créée à la suite des attentats de 2015 concerne des victimes de six actes terroristes commis en France et un à l’étranger depuis 2007. Plusieurs d’entre elles sont étrangères.
La médaille a été décernée aux trois victimes de la famille Sandler, Arié, Gabriel et Jonathan, mais pas à Myriam Monsonego. Il faut savoir que cette médaille n’est décernée qu’à la demande de la victime ou, en cas de décès, de sa famille.
Cette médaille – une fleur à cinq pétales marqués de raies blanches intercalées de feuilles d’olivier, suspendue à un ruban blanc – a vocation à rendre hommage aux victimes, tandis que la Légion d’honneur récompense les services rendus à la Nation.