Les bilans 2018 commencent à fleurir, et les médias y vont de leurs photos et de leurs commentaires. Mais lire le bilan du Huffingtonpost, ça vous fout comme une grande gifle dans la figure, c’est juste un dézingage en règle d’Israël.
Sur 12 photos des soulèvements qui ont marqué 2018, pas une seule sur la lutte des kurdes, si sur aucune des autres luttes des peuples qui se sont soulevés tout au long de l’année contre Daesh, ou plus généralement, tous ceux qui tentent de se soulever contre un islamisme qui veut juste les juste une photo sur une des frappes syriennes sur une des villes déchirées, Saqba.
Mais en revanche 3 photos sur la lutte des palestiniens, sous le feu israélien, et hurlant contre la destruction d’une école, mais sans une aucune mention bien sur des milliers de bombes incendiaires envoyées sur le pays, des milliers d’hectares agricoles dévastés, et des risques quotidiens encourus par la population israélienne.
C’est comment dire, « disproportionné », comme réaction, non ? J’ai commencé par soupçonner une dépêche tendancieuse de l’AFP, mais n’ai rien trouvé. La prochaine fois, @huffingtonpost, essayez donc de ne pas oublier que les malheureux du monde ne se limitent pas aux palestiniens, ah pardon, et aux honduriens qui eux aussi ont toute votre compassion !!
Et vous lecteurs, allez donc regarder plutôt ces autres sites lalibre, cnews et levif, pour vous laver la tête de toutes ces conneries….
Line Tubiana
Ce panégyrique à la gloire des Arabes dits Palestinien, est une démonstration grotesque et supplémentaire de l’arsenal de la communication des instances terroristes qui agissent avec l’argent de la rançon Occidentale.
Contre une suspension de tous attentats à la bombe dans les lieux publics, les terroristes se tiennent peinards et opèrent via les médias auxquels ils passent commande de leur « publi-reportage »
On apprend tout récemment que F. Mitterand fut obligé de négocier avec Abou Nidal, le commanditaire de l’attentat de la rue des Rosiers pour, je cite Yves Bonnet, qu’il évolue librement sur son territoire contre l’assurance qu’il ne frapperait plus le pays.
Voilà pourquoi mes oreilles se ferment lorsque j’entends un des présidents de la République Française, parler de terrorisme.